Enfer
La parodie d’un Dieu Soleil, d’une oasis qui vacille
Crache le faux sur les pétales par des éclats de feux volages,
Bien trop crédule la rose rouge, aveugle aux jets des escarbilles
La fleur en flammes qui se meurt, se réveillant de son mirage.
Et si la Terre , au temps jadis, donnait accueil par sa douceur
Au jeu de leurres devient aride, et se déchire par ses entrailles.
Moribonde, la corolle creuse, par la brulure et la torpeur
Son lit de mort qui se consume, tel le brandon d’un feu de paille.
MZR